territoire
L'AGNEAU DE LOZÈRE
UN PRODUIT ANCRÉ AU COEUR DU TERROIR
LE TERRITOIRE DE L'IGP
Caractéristique principale du produit « Agneau de Lozère », le territoire de l’IGP est limité à une zone précise : 259 communes dont toutes les communes de la Lozère (185), 11 de l’Ardèche, 33 du Cantal et 30 de la Haute Loire.
Cette délimitation géographique correspond à celle du Pays de Lozère et permet le maintien de la race dans son berceau d’origine.
Ces paysages sont pourvus de nombreux atouts : altitude élevée, diversité exceptionnelle des sols, de la végétation et de la biodiversité en général. Ces différentes conditions permettent le maintien de pâturages à la flore variée.
Une seule race de brebis élevée dans son lieu
de prédilection, sélectionnée pour sa
rusticité
Depuis la création de la filière, sans ses idées fondatrices, ELOVEL s’attache à participer au développement du territoire sur lequel est élevé l’Agneau de Lozère.
L’ancrage territorial est une des notions principales. La filière s’attache à obtenir un maximum de retombées économiques sur le territoire pour le maintien de l’emploi et des familles dans ce département rural.
Depuis 30 ans, ELOVEL participe au développement du territoire
4 ENTITÉS DE TERRITOIRE
LA MARGERIDE
Sur un socle de granit, c’est le coeur vert de la Lozère. Il s’agit d’immenses pâturages entrecoupés de bois, de prés, de landes et de ruisseaux. Ce grand espace sauvage est aussi composé de plusieurs lacs.
L'AUBRAC
L’Aubrac est plateau basaltique qui s’étend à perte de vue, parsemé de blocs rocailleux. Cette terre de pâturage d’altitude au printemps et à l’été, est tapissée d’une flore exceptionnelle tant par la richesse de ses couleurs que par la diversité de ses espèces.
LES CAUSSES
Les Causses sont caractérisés par de vastes plateaux calcaires arides entaillés par les canyons creusés par le Tarn et la Jonte. Depuis 2011, les Causses et Cévennes sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en tant que « Paysage culturel vivant de l’agropastoralisme méditerranéen ».
LES CÉVENNES
Chaîne schisteuse située entre le Mont Aigoual et le Mont Lozère dédale de vallées ravinées, de rochers escarpés. Les rivières et les gardons (torrents), les hameaux et les pentes en terrasses façonnées par les hommes strient ces paysages austères.
LA TRANSHUMANCE
Chaque été, certains troupeaux partent en estive sur les hauteurs du Mont Lozère (1699 mètres d’altitude), le Mont Aigoual ou le Massif du Bougès, hauts plateaux lozériens. Les brebis sont amenées pour une période de deux mois environ pour pâturer dans un milieu naturel d’exception.
Depuis juin 2020, la transhumance pratiquée par les bergers et les éleveurs est reconnue comme patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Cette pratique de la transhumance est un savoir-faire ancestral qui vise différents objectifs :
L’apport de nourriture au troupeau pendant la période estivale sur des pâtures sauvages, à la végétation variée, qui se situent en altitude et sont par conséquent moins sensibles aux chaleurs et à la sécheresse.
La préservation des prés et parcours de mi altitude proches des exploitations pour les rendre disponibles la fauche et la récolte de foin, ou pour nourrir le troupeau à l’automne.
On l’a vu, une des particularités de l’élevage ovin lozérien a longtemps été la transhumance. Il existait ainsi trois drailles principales, conduisant toutes en Lozère : la draille d’Aubrac qui traversait le Mont Aigoual, le Causse Méjean et le Causse de Sauveterre, la draille de Margeride, longue de plus de 100 km, la draille du Gévaudan, nommée encore « Chemin de César ».
L’accueil des troupeaux transhumants n’est plus guère pratiqué actuellement que sur le Mont Lozère et l’Aigoual ; mais il reste de la transhumance cette habitude de forte utilisation des parcours par les ovins.
Dès le mois d’avril, par exemple, en Margeride et en Cévennes, les troupeaux, dans la tradition ovine, n’ont plus droit aux prés de fauche et se dirigent en mai/juin vers la « montagne », selon la terminologie consacrée.
CAUSSES, CÉVENNES PAYSAGES CLASSÉS, FAÇONNÉS PAR L'AGROPASTORALISME
Les paysages somptueux des Causses et Cévennes sont les témoins d’une pratique ancestrale de l’agropastoralisme. Ils illustrent le travail minutieux d’éleveurs passionnés qui continuent d’exploiter les ressources naturelles de ce territoire pauvre pour en générer des richesses gustatives (viande, lait, fromage). Cette interaction étroite entre l’homme et son environnement qui se traduit dans les paysages a été reconnu par l’UNESCO comme étant d’une Valeur Universelle Exceptionnelle et dont la préservation représente un enjeu mondial. La préservation de ces paysages passe par la conservation de ces pratiques agropastorales ancestrales.
Un produit authentique révélé par les grands noms de la gastronomie française
L'AGNEAU DE LOZÈRE
Un produit ancré au coeur du territoire
LE TERRITOIRE DE L'IGP
Caractéristique principale du produit « Agneau de Lozère », le territoire de l’IGP est limité à une zone précise : 259 communes dont toutes les communes de la Lozère (185), 11 de l’Ardèche, 33 du Cantal et 30 de la Haute Loire.
Cette délimitation géographique correspond à celle du Pays de Lozère et permet le maintien de la race dans son berceau d’origine.
Ces paysages sont pourvus de nombreux atouts : altitude élevée, diversité exceptionnelle des sols, de la végétation et de la biodiversité en général. Ces différentes conditions permettent le maintien de pâturages à la flore variée.
Une seule race de brebis rustique élevée sur son territoire de prédilection
Depuis la création de la filière, sans ses idées fondatrices, ELOVEL s’attache à participer au développement du territoire sur lequel est élevé l’Agneau de Lozère.
L’ancrage territorial est une des notions principales. La filière s’attache à obtenir un maximum de retombées économiques sur le territoire pour le maintien de l’emploi et des familles dans ce département rural.
Depuis 30 ans, ELOVEL participe au développement du territoire
4 ENTITÉS DE TERRITOIRE
LA MARGERIDE
Sur un socle de granit, c’est le coeur vert de la Lozère. Il s’agit d’immenses pâturages entrecoupés de bois, de prés, de landes et de ruisseaux. Ce grand espace sauvage est aussi composé de plusieurs lacs.
L'AUBRAC
L’Aubrac est plateau basaltique qui s’étend à perte de vue, parsemé de blocs rocailleux. Cette terre de pâturage d’altitude au printemps et à l’été, est tapissée d’une flore exceptionnelle tant par la richesse de ses couleurs que par la diversité de ses espèces.
LES CAUSSES
Les Causses sont caractérisés par de vastes plateaux calcaires arides entaillés par les canyons creusés par le Tarn et la Jonte. Depuis 2011, les Causses et Cévennes sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en tant que «Paysage culturel vivant de l’agropastoralisme méditerranéen».
LES CÉVENNES
Chaîne schisteuse située entre le Mont Aigoual et le Mont Lozère dédale de vallées ravinées, de rochers escarpés. Les rivières et les gardons (torrents), les hameaux et les pentes en terrasses façonnées par les hommes strient ces paysages austères.
LA TRANSHUMANCE SUR LE MONT LOZÈRE
Chaque été, certains troupeaux partent en estive sur les hauteurs du Mont Lozère (1699 mètres d’altitude), le Mont Aigoual ou le Massif du Bougès, hauts plateaux lozériens. Les brebis sont amenées pour une période de deux mois environ pour pâturer dans un milieu naturel d’exception.
Depuis juin 2020, la transhumance pratiquée par les bergers et les éleveurs est reconnue comme patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Cette pratique de la transhumance est un savoir-faire ancestral qui vise différents objectifs :
L’apport de nourriture au troupeau pendant la période estivale sur des pâtures sauvages, à la végétation variée, qui se situent en altitude et sont par conséquent moins sensibles aux chaleurs et à la sécheresse.
La préservation des prés et parcours de mi altitude proches des exploitations pour les rendre disponibles la fauche et la récolte de foin, ou pour nourrir le troupeau à l’automne.
On l’a vu, une des particularités de l’élevage ovin lozérien a longtemps été la transhumance. Il existait ainsi trois drailles principales, conduisant toutes en Lozère : la draille d’Aubrac qui traversait le Mont Aigoual, le Causse Méjean et le Causse de Sauveterre, la draille de Margeride, longue de plus de 100 km, la draille du Gévaudan, nommée encore « Chemin de César ».
L’accueil des troupeaux transhumants n’est plus guère pratiqué actuellement que sur le Mont Lozère et l’Aigoual ; mais il reste de la transhumance cette habitude de forte utilisation des parcours par les ovins.
Dès le mois d’avril, par exemple, en Margeride et en Cévennes, les troupeaux, dans la tradition ovine, n’ont plus droit aux prés de fauche et se dirigent en mai/juin vers la « montagne », selon la terminologie consacrée.
CAUSSES, CÉVENNES PAYSAGES CLASSÉS, FAÇONNÉS PAR L'AGROPASTORALISME
Les paysages somptueux des Causses et Cévennes sont les témoins d’une pratique ancestrale de l’agropastoralisme. Ils illustrent le travail minutieux d’éleveurs passionnés qui continuent d’exploiter les ressources naturelles de ce territoire pauvre pour en générer des richesses gustatives (viande, lait, fromage). Cette interaction étroite entre l’homme et son environnement qui se traduit dans les paysages a été reconnu par l’UNESCO comme étant d’une Valeur Universelle Exceptionnelle et dont la préservation représente un enjeu mondial. La préservation de ces paysages passe par la conservation de ces pratiques agropastorales ancestrales.
